Un appareil qui coute les yeux de la terre quand je n'arrive vraiment pas à faire de belles photos.
Par contre je prend mon kodak cheap de 3,2 MP et j'arrive a faire des photos plus belle qu'avec l'autre.
Je crois que je vais devoir étudier le mode d'emploi.
M'enfin jeudi dans la journée je me suis fais une scéance photo homemade avec mon gars. Par contre il ne fut pas très très coopératif.
Voila quand même le résultat, qui est potable. Mais faut dire que le model est super joli :P
Saturday, February 24, 2007
Thursday, February 22, 2007
Petite tranche de vie
Bien oui, comme je trouve que je ne sors pas assez dehord. Je déteste le froid.
Ce matin je me dis bon il fait pas trop froid allons dehord avec alexis. C'est tout un sport habiller un enfant pour aller dehord. Par chance il ne peut pas encore me sortir la phrase ultime du *J'ai envie maman * une fois l'habit mis au COMPLET.
Ça m'a pris un bon 6 minutes, oui oui j'ai regardé l'horloge , à l'habiller. Rendu dehord, la kid kodak en moi sort je me met a prendre des photos. MAIS, parce qu'il y a un MAIS, mon gars n'a pas aimé jouer dans la neige, aussitôt mis par terre monsieur voulais déjà entrer dans la maison.
Mais ce fut quand même agréable, la kidKodak en moi a quand même pus prendre quelques photos. Mais bon elle ne sont pas super je ne voulais pas prendre mon bel appareil photo , j'ai pris le cheap alors elles sortent bizarre un peu. Mais au moins j'aurais des photos de lui dans la neige afin de faire de belles pages de scrapbook.
Aurais-je fait ca rien que pour ça?? Bien non voyont je ne suis pas SI accro ...
Quoi que !!!
Il était bien emmitouflé dans son manteau . Je ne voulais pas qu'il ai froid :)
Ce matin je me dis bon il fait pas trop froid allons dehord avec alexis. C'est tout un sport habiller un enfant pour aller dehord. Par chance il ne peut pas encore me sortir la phrase ultime du *J'ai envie maman * une fois l'habit mis au COMPLET.
Ça m'a pris un bon 6 minutes, oui oui j'ai regardé l'horloge , à l'habiller. Rendu dehord, la kid kodak en moi sort je me met a prendre des photos. MAIS, parce qu'il y a un MAIS, mon gars n'a pas aimé jouer dans la neige, aussitôt mis par terre monsieur voulais déjà entrer dans la maison.
Mais ce fut quand même agréable, la kidKodak en moi a quand même pus prendre quelques photos. Mais bon elle ne sont pas super je ne voulais pas prendre mon bel appareil photo , j'ai pris le cheap alors elles sortent bizarre un peu. Mais au moins j'aurais des photos de lui dans la neige afin de faire de belles pages de scrapbook.
Aurais-je fait ca rien que pour ça?? Bien non voyont je ne suis pas SI accro ...
Quoi que !!!
Il était bien emmitouflé dans son manteau . Je ne voulais pas qu'il ai froid :)
Wednesday, February 21, 2007
Mon dernier Projet en scrapbook
Tuesday, February 20, 2007
Une soirée de Scrap
J'ai hâte, ce vendredi soir, une soirée de fille. Une soirée entière à faire du scrapbook avec d'autres filles. Ahhh ça va être le fun. Placottage, scrapbook jusqu'à je ne sais quelle heure.
Je n'ai pas souvent fait du scrapbook avec d'autre personne mise à part toute seule chez moi.
J'ai bien hâte de voir ce que je vais produire :)
J'aime ça faire du scrapbook, étant une fille stressé de nature je n'avais encore jamais trouvé une activité qui me fesait relaxer jusqu'a ce que j'essaie le scrapbook.
Ahhh quelle belle invention !
Je n'ai pas souvent fait du scrapbook avec d'autre personne mise à part toute seule chez moi.
J'ai bien hâte de voir ce que je vais produire :)
J'aime ça faire du scrapbook, étant une fille stressé de nature je n'avais encore jamais trouvé une activité qui me fesait relaxer jusqu'a ce que j'essaie le scrapbook.
Ahhh quelle belle invention !
Monday, February 19, 2007
Aimer
Je me demande pourquoi l'amour est si compliquée ?
Es-ce parce qu'il est beaucoup plus facile d'haĩr quelqu'un plutôt que de l'aimer?
Non, c'est vrai on ne se le cachera pas il est beaucoup plus facile de détester quelqu'un plutôt que de l'aimer. Alors que l'on pense aimer une personne, on se réveille le lendemain a détester cette personne.
On ne déteste pas vraiment cette personne , on hais ce qu'elle a fait de nous. On hais qu'elle ai réussit a nous faire croire en quelque chose que l'on croiyait tellement utopique.
On ne déteste pas son entité, on hais qu'elle ne crois plus en NOUS. On hais au plus haut point tout ce qu'on a pus faire pour elle.
On ne la déteste pas, on se hais de l'avoir aimé d'avoir cru en tout ça. On se hais de pleurer, de crier notre désespoir. On se hais de ne pas pouvoir être fort comme on le voudrait. On ne la déteste pas , car tout au fond de notre coeur meurtrie, caché bien au fond de toute ces peines d'amour et d'amitié une lueur d'espoir qu'un jour on l'aimera a nouveau.
Oui, il m'arrive à l'occasion de repenser à toutes ces personnes que j'ai aimés, qui m'ont blessé, que j'ai hais pour tout ce qu'il m'ont fait. Je regrette d'avoir ouvert mon coeur a bien des gens, mais les regrets ne font pas avancer le monde.
Mais es ce que les blessures de l'amour peuvent nous faire avancer ??
Wednesday, February 14, 2007
La jalousie
Es ce que ça vous arrive des fois d'être jaloux des autres. Je ne parle pas de la jalousie que l'on peut avoir dans un couple. Mais je parle plus d'une jalousie, d'envier les autres.
Il m'arrive parfois de jalouser le bonheur des autres. D'envier leurs situations, je sais bien que chaque personne vit son lot de malheur, mais ces même personnes vivent aussi leur lot de bonheur qui est souvent bien différent du mien.
Il m'arrive d'avoir de la misère à être contente pour les autres car j'aimerais bien être à leur place. Un faux sourire au visage je m'efforce d'être contente pour eux, même si au font de moi je bouille d'envie de vivre ce même bonheur.
Je ne devrais sans doute pas me plaindre puisque de toute façon je ne suis pas à plaindre, l'herbe semble toujours plus verte chez le voisin.
La jalousie c'est mal.... Oui, oui je sais.
Il m'arrive parfois de jalouser le bonheur des autres. D'envier leurs situations, je sais bien que chaque personne vit son lot de malheur, mais ces même personnes vivent aussi leur lot de bonheur qui est souvent bien différent du mien.
Il m'arrive d'avoir de la misère à être contente pour les autres car j'aimerais bien être à leur place. Un faux sourire au visage je m'efforce d'être contente pour eux, même si au font de moi je bouille d'envie de vivre ce même bonheur.
Je ne devrais sans doute pas me plaindre puisque de toute façon je ne suis pas à plaindre, l'herbe semble toujours plus verte chez le voisin.
La jalousie c'est mal.... Oui, oui je sais.
Tuesday, February 13, 2007
Un accouchement
L'histoire commence le 3 janvier 2006 vers 4h de l'apres-midi.
Je prépare le souper , je remarque que des contractions non-douloureuses mais très régulières, elles sont au 5 minutes. Dans ma tête je le sais je vais accoucher dans les prochaines heures. Donc je prépare le souper, je mange , les contractions ne semblent pas vouloir s'en aller, elles sont toujours aux 5 minutes.
Mon copain et moi aviont prévue d'écouter un film. Je lui dis donc que j'ai mal dans le ventre que je vais prendre un bain chaud voir si ça va se calmer. Je prend donc un bain extrêment brulant, OUFF que ça fais du bien ça me calme, mais ça ne les calment pas ELLES.Je fini par sortir du bain on commence a écouter Le dernier essai avec Adam Sandler. Tout le long du film j'ai des contractions. Heurement mon chum gentil comme il est me frotte le bedon. Je crois bien que le film a fini vers 10hrs. J'ai encore très mal au ventre je dis donc a mon copain que je vais aller prendre un AUTRE bain.
Je sort du bain une grosse demie-heure plus tard. Mon copain me demande alors si je veux aller a l'hopital et que si toutefois il nous retourne a la maison on ira dormir chez ces parents.Comme mes contractions étaient encore aux 5minutes et qu'elles commencaient a être plus douloureuses je décide d'accepter son offre. On arrive donc a minuit moins quart a l'hopital de Granby.
Une infirmière m'examine et me dit que je suis a 3 effacé a 80% et que mon col est mou. Elle me dit donc d'aller marcher une heure et on verra après si on décide de me garder. J'ai beau avoir la chienne de ma vie je ne peux pas reculer. Que je le veuille ou non j'accoucherais.
Je vais me promener dans l'hopital avec mon amour. Les contractions reviennent souvent et deviennent un peu plus douloureuses. Mon copain me dit de bien respirer. Ouin c'est plus facile a dire qu'a faire. Après l'heure passé l'infirmière me réexamine et décide de me garder. Elle m'ammène alors dans ma chambre. Elle me sort le ballon et me fait les points de pression pour que mon chum puisse me les faire en cas de besoin....
Les heures passent et pas grand chose se passe. Les contractions par contre elles deviennent de plus en plus douloureuses.L'infirmière me demande si je veux aller dans le bain tourbillon. J'y vais. Les jets font du bien mais pas très longtemps. J'commence vraiment a me demander si le travail va accélére. En plus dans la chambre voisine il y a une dame qui crie. Très inspirant.
Vers 7h je commence a être tanné ca fais 7h que j'endure et rien n'avance je suis stabilisé a 5. J'demande donc a ce qu'on me donne l'épidurale. L'infirmière va voir mon médecin si elle donne le ok. Tout est beau l'anasthésite vient et il est vraiment sympathique il réussi a me détendre tellement que je n'ai pas vue venir lorsqu'il m'a piquer.Ouff qu'elle soulagement 30 minutes plus tard et je ne sent plus rien. Mon médecin vient me voir et me conseil de DORMIR parce que lorsque sera venue le temps de poussé l'épidurale fais ralentir cette étape.
Alors j'ai pus me reposer, mais c'est un grand mot parce que j'était *dérengé* par la gentille infirmière qui c'est occupé de moi durant pas mal toute mon accouchement. En tk elle était pas mal plus sympathique que l'autre qui m'a pêter une veine parce qu'elle piquait tout croche parce qu'elle avait fini son chiffre de travail.
Pendant ce temps mon chum était partis chez ces parents déjeuner et se reposer un peu. Je lui ai dit de revenir vers 11h parce que je voulais être sure qu'il sois la lors de la poussée.Entre temps l'infirmière est venue me réexaminer j'étais rendu a 7h. Vers 11hrs mon médecin vient crever mes eaux. A partir de la j'ai monter en flèche parce qu'a midi j'était déjà complête.
Alors voila le début de la poussé. L'infirmière me fait poussée dans toutes les positions pour placer le bébé comme il faut. Mais je ne le sent pas.Alors elle a la *brillante* idée de baisser l'épidurale afin que je sente bien mes contractions et que je pousse comme il faut. Oh goshh je pensais pas que ces contractions la étaient SI douloureuses. Je crois que je n'ai jamais eu aussi mal.Une chance que mon chum était un amour, et contrairement a ce que j'aurais pensé je n'ai pas été désagréable avec. Il me frottait le front avec une serviette humide et il me donne de la glace.
Mais bon la ca devais faire plus de 3h que je poussais j'était plus capable. Je me met a respirer trop fort l'infirmiere me dit de bien respirer mais je prend panique. Je me met a pleurer et j'crie que je ne suis plus capable. Faite de quoi j'en peux plus je suis FATIGUÉE.L'infirmière va chercher le médecin. Elle dit c'est correct on va aller le chercher avec la ventouse. Ce qui ne fonctionne pas car Alexis as une trop grosse calotte ce qui fait que la ventouse ne s'accroche pas à sa tête.La elle dit on va devoir aller le chercher avec les forceps. Mais ca ne semblait pas fonctionner.
Le médecin dit c'est le dernier coup si ca ne fonctionne pas on s'en va pour une césarienne. La je me met a pleurer je voulais pas... Non pas tout se travail la pour en finir en césarienne. Mon médecin savait la peur que j'avais d'accouche donc elle me dit Oki ma belle vas y donne tout ce que tu as.
Je ne sais pas si c'est un coup du destion ou de la magie mais a la radio la chanson Depuis le premier d'isabelle Boulay est partie. et Alexis est sortie et on entendais c'est mots: Depuis le premier jour j'ai su que je t'aimais.Elles me l'ont déposé sur moi. Mon chum c'est mit a pleurer de joie. Son fils, notre fils était né après tant d'attente.
Je prépare le souper , je remarque que des contractions non-douloureuses mais très régulières, elles sont au 5 minutes. Dans ma tête je le sais je vais accoucher dans les prochaines heures. Donc je prépare le souper, je mange , les contractions ne semblent pas vouloir s'en aller, elles sont toujours aux 5 minutes.
Mon copain et moi aviont prévue d'écouter un film. Je lui dis donc que j'ai mal dans le ventre que je vais prendre un bain chaud voir si ça va se calmer. Je prend donc un bain extrêment brulant, OUFF que ça fais du bien ça me calme, mais ça ne les calment pas ELLES.Je fini par sortir du bain on commence a écouter Le dernier essai avec Adam Sandler. Tout le long du film j'ai des contractions. Heurement mon chum gentil comme il est me frotte le bedon. Je crois bien que le film a fini vers 10hrs. J'ai encore très mal au ventre je dis donc a mon copain que je vais aller prendre un AUTRE bain.
Je sort du bain une grosse demie-heure plus tard. Mon copain me demande alors si je veux aller a l'hopital et que si toutefois il nous retourne a la maison on ira dormir chez ces parents.Comme mes contractions étaient encore aux 5minutes et qu'elles commencaient a être plus douloureuses je décide d'accepter son offre. On arrive donc a minuit moins quart a l'hopital de Granby.
Une infirmière m'examine et me dit que je suis a 3 effacé a 80% et que mon col est mou. Elle me dit donc d'aller marcher une heure et on verra après si on décide de me garder. J'ai beau avoir la chienne de ma vie je ne peux pas reculer. Que je le veuille ou non j'accoucherais.
Je vais me promener dans l'hopital avec mon amour. Les contractions reviennent souvent et deviennent un peu plus douloureuses. Mon copain me dit de bien respirer. Ouin c'est plus facile a dire qu'a faire. Après l'heure passé l'infirmière me réexamine et décide de me garder. Elle m'ammène alors dans ma chambre. Elle me sort le ballon et me fait les points de pression pour que mon chum puisse me les faire en cas de besoin....
Les heures passent et pas grand chose se passe. Les contractions par contre elles deviennent de plus en plus douloureuses.L'infirmière me demande si je veux aller dans le bain tourbillon. J'y vais. Les jets font du bien mais pas très longtemps. J'commence vraiment a me demander si le travail va accélére. En plus dans la chambre voisine il y a une dame qui crie. Très inspirant.
Vers 7h je commence a être tanné ca fais 7h que j'endure et rien n'avance je suis stabilisé a 5. J'demande donc a ce qu'on me donne l'épidurale. L'infirmière va voir mon médecin si elle donne le ok. Tout est beau l'anasthésite vient et il est vraiment sympathique il réussi a me détendre tellement que je n'ai pas vue venir lorsqu'il m'a piquer.Ouff qu'elle soulagement 30 minutes plus tard et je ne sent plus rien. Mon médecin vient me voir et me conseil de DORMIR parce que lorsque sera venue le temps de poussé l'épidurale fais ralentir cette étape.
Alors j'ai pus me reposer, mais c'est un grand mot parce que j'était *dérengé* par la gentille infirmière qui c'est occupé de moi durant pas mal toute mon accouchement. En tk elle était pas mal plus sympathique que l'autre qui m'a pêter une veine parce qu'elle piquait tout croche parce qu'elle avait fini son chiffre de travail.
Pendant ce temps mon chum était partis chez ces parents déjeuner et se reposer un peu. Je lui ai dit de revenir vers 11h parce que je voulais être sure qu'il sois la lors de la poussée.Entre temps l'infirmière est venue me réexaminer j'étais rendu a 7h. Vers 11hrs mon médecin vient crever mes eaux. A partir de la j'ai monter en flèche parce qu'a midi j'était déjà complête.
Alors voila le début de la poussé. L'infirmière me fait poussée dans toutes les positions pour placer le bébé comme il faut. Mais je ne le sent pas.Alors elle a la *brillante* idée de baisser l'épidurale afin que je sente bien mes contractions et que je pousse comme il faut. Oh goshh je pensais pas que ces contractions la étaient SI douloureuses. Je crois que je n'ai jamais eu aussi mal.Une chance que mon chum était un amour, et contrairement a ce que j'aurais pensé je n'ai pas été désagréable avec. Il me frottait le front avec une serviette humide et il me donne de la glace.
Mais bon la ca devais faire plus de 3h que je poussais j'était plus capable. Je me met a respirer trop fort l'infirmiere me dit de bien respirer mais je prend panique. Je me met a pleurer et j'crie que je ne suis plus capable. Faite de quoi j'en peux plus je suis FATIGUÉE.L'infirmière va chercher le médecin. Elle dit c'est correct on va aller le chercher avec la ventouse. Ce qui ne fonctionne pas car Alexis as une trop grosse calotte ce qui fait que la ventouse ne s'accroche pas à sa tête.La elle dit on va devoir aller le chercher avec les forceps. Mais ca ne semblait pas fonctionner.
Le médecin dit c'est le dernier coup si ca ne fonctionne pas on s'en va pour une césarienne. La je me met a pleurer je voulais pas... Non pas tout se travail la pour en finir en césarienne. Mon médecin savait la peur que j'avais d'accouche donc elle me dit Oki ma belle vas y donne tout ce que tu as.
Je ne sais pas si c'est un coup du destion ou de la magie mais a la radio la chanson Depuis le premier d'isabelle Boulay est partie. et Alexis est sortie et on entendais c'est mots: Depuis le premier jour j'ai su que je t'aimais.Elles me l'ont déposé sur moi. Mon chum c'est mit a pleurer de joie. Son fils, notre fils était né après tant d'attente.
Être mère
Etre maman...
La plus sacrée des vocations...Une amie me dit :"on fait un sondage auprès de notre entourage, dit-elle, mi sérieuse. Penses-tu que je devrais avoir un bébé ? ""Ca va changer ta vie", dis-je en m'efforant de garder un ton neutre."
Je sais, dit-elle. Plus de grasses matinées les samedis, plus de vacances de dernière minute."
Mais ce n'est pas du tout ce que je voulais dire. Je regarde mon amie en me demandant quoi lui dire.Je veux qu'elle sache ce qu'elle n'apprendra jamais dans les cours prénataux.
Je veux lui dire que les blessures physiques de l'accouchement guérissent, mais que la cicatrice émotionnelle laissée par l'éclosion de la maternité est si vive qu'elle restera à jamais vulnérable. Je veux la prévenir qu'elle ne pourra plus jamais lire un journal sans se demander : "Et si cet enfant avait été le mien ?" Que chaque accident et chaque incendie la hanteront. Que les images d'enfants affamés lui feront prendre conscience qu'il n'y a rien de pire que voir son enfant mourir.Je la regarde. Je regarde ses ongles impeccablement manucurés, son tailleur élégant. Aussi sophistiquée soit-elle, la maternité la réduira à un état aussi primitif qu'une ourse protégeant ses petites. Que le cri :"Maman!" sera comme une sonnette d'alarme qui la fera se précipiter toutes affaires cessantes.
Je devrais aussi lui dire que sa vie professionnelle sera perturbée, quel que soit le nombre d'années qu'elle a investies dans sa carrière. Certes, elle trouvera une gardienne pour son enfant, mais un jour, elle se rendra à une importante réunion et se rappellera soudainement l'odeur douce de son bébé. Elle devra alors user de toutes sa détermination pour résister à la tentation de courir à la maison vérifier si son enfant va bien.
Je veux que mon amie sache que les décisions du quotidien ne seront plus aussi automatiques. Que le désir d'un garçon de 5 ans d'aller aux toilettes des hommes chez Mac Do plutôt qu'aux toilettes femmes seratout un dilemne. Qu'en plein milieu du restaurant, à travers les bruits de vaisselle et les cris d'enfants, les question d'indépendance et d'identité sexuelle seront soupesées avec la sinistre possibilité qu'un agresseur d'enfants soit tapi dans les toilettes. Aussi décidée soit-elle au bureau, mon amie aura constamment des doutes comme mère.
Je regarde encore ma ravissante amie. Je veux lui dire qu'elle finira par perdre ses kg accumulés durant la grossesse, mais qu'elle ne se sentira plus jamais la même. Que sa vie aujourd'hui si précieuse vaudra moins à ses yeux lorsqu'elle sera mère. Qu'elle donnera sa vie sans hésiter pour sauver celle de son enfant, mais qu'elle se mettra aussi à espérer vivre le plus longtemps possible, non pas pour réaliser ses propres rêves, mais pour voir son enfant réaliser les siens.
Sa relation à son mari changera aussi mais pas de la façon qu'elle le croit. J'aimerais qu'elle puisse comprendre à quel point on aime un homme qui prend toujours soin de poudrer son bébé ou qui n'hésitejamais à jouer avec son fils ou sa fille. Je pense qu'elle doit savoir qu'elle va de nouveau tomber amoureuse de son mari pour des rasions que, présentement, elle ne trouverait pas très romantique.
J'aimerais que mon amie sente le lien qui l'unira à toutes les femmes qui ont, au cours de l'histoire, tenté d'éliminer la guerre, la discrimination, l'alcool au volant. J'espère qu'elle comprendra pourquoi je réfléchis rationellement sur la plupart des sujets alors que je deviens temporairement maboule quand je parle des menaces de guerre nucléaire qui planent sur l'avenir de mes enfants.Je veux aussi décrire à mon amie la jubilation que l'on éprouve à voir son enfant apprendre à frapper une balle de baseball.
Je veux qu'elle connaisse le rire argentin d'un bébé qui touche pour la première fois la douce fourrure d'un chien. Je veux qu'elle savoure ces joies qui sont si pures qu'elles font mal.Le regard de mon amie me fait prendre conscience que j'ai les larmes aux yeux "tu ne le regretteras jamais" lui dis-je enfin. Puis je m'avance vers la table et lui prends la main en faisant une prière pour elle, pour moi et pour toutes les femmes, simples mortelles, qui exercent du mieux qu'elles peuvent la plus sacrée des vocations."
BOUILLON DE POULET POUR L'ÂME D'UNE FUTURE MAMAN.Par Jack Candield, Mark Victor Hansen, Patty Aubery et Nancy MitchellÉditions Sciences et Culture, 2005.
La plus sacrée des vocations...Une amie me dit :"on fait un sondage auprès de notre entourage, dit-elle, mi sérieuse. Penses-tu que je devrais avoir un bébé ? ""Ca va changer ta vie", dis-je en m'efforant de garder un ton neutre."
Je sais, dit-elle. Plus de grasses matinées les samedis, plus de vacances de dernière minute."
Mais ce n'est pas du tout ce que je voulais dire. Je regarde mon amie en me demandant quoi lui dire.Je veux qu'elle sache ce qu'elle n'apprendra jamais dans les cours prénataux.
Je veux lui dire que les blessures physiques de l'accouchement guérissent, mais que la cicatrice émotionnelle laissée par l'éclosion de la maternité est si vive qu'elle restera à jamais vulnérable. Je veux la prévenir qu'elle ne pourra plus jamais lire un journal sans se demander : "Et si cet enfant avait été le mien ?" Que chaque accident et chaque incendie la hanteront. Que les images d'enfants affamés lui feront prendre conscience qu'il n'y a rien de pire que voir son enfant mourir.Je la regarde. Je regarde ses ongles impeccablement manucurés, son tailleur élégant. Aussi sophistiquée soit-elle, la maternité la réduira à un état aussi primitif qu'une ourse protégeant ses petites. Que le cri :"Maman!" sera comme une sonnette d'alarme qui la fera se précipiter toutes affaires cessantes.
Je devrais aussi lui dire que sa vie professionnelle sera perturbée, quel que soit le nombre d'années qu'elle a investies dans sa carrière. Certes, elle trouvera une gardienne pour son enfant, mais un jour, elle se rendra à une importante réunion et se rappellera soudainement l'odeur douce de son bébé. Elle devra alors user de toutes sa détermination pour résister à la tentation de courir à la maison vérifier si son enfant va bien.
Je veux que mon amie sache que les décisions du quotidien ne seront plus aussi automatiques. Que le désir d'un garçon de 5 ans d'aller aux toilettes des hommes chez Mac Do plutôt qu'aux toilettes femmes seratout un dilemne. Qu'en plein milieu du restaurant, à travers les bruits de vaisselle et les cris d'enfants, les question d'indépendance et d'identité sexuelle seront soupesées avec la sinistre possibilité qu'un agresseur d'enfants soit tapi dans les toilettes. Aussi décidée soit-elle au bureau, mon amie aura constamment des doutes comme mère.
Je regarde encore ma ravissante amie. Je veux lui dire qu'elle finira par perdre ses kg accumulés durant la grossesse, mais qu'elle ne se sentira plus jamais la même. Que sa vie aujourd'hui si précieuse vaudra moins à ses yeux lorsqu'elle sera mère. Qu'elle donnera sa vie sans hésiter pour sauver celle de son enfant, mais qu'elle se mettra aussi à espérer vivre le plus longtemps possible, non pas pour réaliser ses propres rêves, mais pour voir son enfant réaliser les siens.
Sa relation à son mari changera aussi mais pas de la façon qu'elle le croit. J'aimerais qu'elle puisse comprendre à quel point on aime un homme qui prend toujours soin de poudrer son bébé ou qui n'hésitejamais à jouer avec son fils ou sa fille. Je pense qu'elle doit savoir qu'elle va de nouveau tomber amoureuse de son mari pour des rasions que, présentement, elle ne trouverait pas très romantique.
J'aimerais que mon amie sente le lien qui l'unira à toutes les femmes qui ont, au cours de l'histoire, tenté d'éliminer la guerre, la discrimination, l'alcool au volant. J'espère qu'elle comprendra pourquoi je réfléchis rationellement sur la plupart des sujets alors que je deviens temporairement maboule quand je parle des menaces de guerre nucléaire qui planent sur l'avenir de mes enfants.Je veux aussi décrire à mon amie la jubilation que l'on éprouve à voir son enfant apprendre à frapper une balle de baseball.
Je veux qu'elle connaisse le rire argentin d'un bébé qui touche pour la première fois la douce fourrure d'un chien. Je veux qu'elle savoure ces joies qui sont si pures qu'elles font mal.Le regard de mon amie me fait prendre conscience que j'ai les larmes aux yeux "tu ne le regretteras jamais" lui dis-je enfin. Puis je m'avance vers la table et lui prends la main en faisant une prière pour elle, pour moi et pour toutes les femmes, simples mortelles, qui exercent du mieux qu'elles peuvent la plus sacrée des vocations."
BOUILLON DE POULET POUR L'ÂME D'UNE FUTURE MAMAN.Par Jack Candield, Mark Victor Hansen, Patty Aubery et Nancy MitchellÉditions Sciences et Culture, 2005.
Monday, February 12, 2007
Depuis le premier jour
C'est tellement une phrase qui fait du sens à ma vie.
Depuis le premier jour ce sont les paroles que j'ai entendu à la radio à la naissance de mon gars.
Depuis le premier jour, depuis le commencement.
Depuis le départ d'une nouvelle vie. Une vie remplis de sourire, de joies et de peines.
Depuis le premier jour ou je t'ai aimé, oui oui toi. Depuis ce jour plus rien ne fut pareil. À l'aube de la St-Valentin pourquoi en venir à se questionner sur les raisons de l'amour.
Pourquoi ne pas tout simplement aimer, aimer sans se questionner. Aimer comme si nous n'aviont jamais auparavant été blessé. Comme si c'était le premier jour de notre vie.
Comment ce fait-il que la chose qui se doit d'être la plus belle au monde doit-elle être la plus compliqué ? Pourquoi aimer ne pourrait-il pas se résumer a ; Je t'aime tu m'aimes et on s'aime.
Depuis le premier jour ou tu m'as souris, j'ai tout de même su que je t'aimerais malgrès que l'amour sois si compliquée. Et depuis ce fameux premier jour, je t'aime au dela-la des joies et des peine.
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